Week-end en camping avec ma meilleure amie et son mec

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il y a 4 ans

Ah, mes souvenirs de camping… Début juin, en descendant ma poubelle, je croise dans les escaliers ma voisine Armelle, ma meilleure amie.

— Salut Paul, comment vas-tu ?

— Bien, un peu chaud mais bien. Avec un soleil comme aujourd’hui, l’été promet d’être agréable.

Armelle se serra dans mes bras pour échanger notre bisou matinal. Dans le miroir du palier, je contemplais nos silhouettes n’en faisant qu’une ; nos corps lovés l’un contre l’autre en tenue hyper légère renvoyaient une image plus que sexy. Même si les filles ne m’attiraient pas, voir son corps si frêle de profil avait un côté très bandant pour un homo. Hissée sur la pointe des pieds elle m’embrassait, ses deux bras autour de mon cou ; j’admirais la cambrure de son cul qui, par la petitesse de son shorty, dévoilait la naissance de ses fesses. Même son débardeur laissait entrevoir le galbe de ses seins qui pointaient dur à travers le tissu.

— Ma petite voisine préférée, t’es quand même bandante…

— Arrête de m’allumer, t’aimes pas les filles.

— Mais t’es quand même bandante, ma chérie.

— Toi, me dit-elle, un jour je vais te v i o l er !

Et pour l’exciter d’avantage, j’ajoutai :

— Alors, faudra m’attacher.

— Mais j’y compte bien.

Et pour m’allumer à son tour, elle plaqua ses mains sur mes fesses pour frotter son pubis contre mon sexe. Armelle savait que je ne portais jamais de sous-vêtements. Sans aucune pudeur, elle plaça sa main sur ma queue à travers mon jeans en tentant de déclencher une érection. Nos relations, bien que virtuellement sexuelles, étaient toujours très crues, mélangeant dialogues outranciers remplis de promesses salaces et des gestes – voire des caresses provocantes – sans toutefois aboutir réellement.

— Tu vois, j’arrive à te faire bander un peu quand je te touche, non ? Avec un peu d’entraînement, je suis sûre que je pourrais te faire jouir avec une bonne branlette quotidienne. C’est quand même du gâchis ; un beau gosse comme toi… Je suis sûre qu’en insistant…

Et d’ajouter dans le creux de mon oreille :

— Et si je te suçais, t’aimerais pas ? Je donnerais cher pour me faire prendre par un si bel étalon.

— Arrête, tu vas finir par arriver à tes fins, et je te rappelle que ton mec est aussi mon pote. Alors…

— Alors, alors… Te formalise pas, je suis sûre qu’il ne serait pas jaloux, avec toi.

— T’as toujours le mot de la fin. Allez, lâche ma queue, tu commences à me faire bander, salope.

— Hum ! Je sais que ça te plaît. J’aime quand tu me parles avec amour.

— Quelle chienne tu fais ! Il a du boulot, Marc, avec une gonzesse comme toi ; il ne doit pas souvent débander : tu dois l’épuiser, le vider.

— Eh oui… Le cul, le cul, le cul, y’a que ça de vrai.

— Dis donc, je change de sujet : vous allez au pub samedi soir ?

— Non, Marc a un pote qui nous autorise à camper sur son terrain. Quand je dis « terrain », c’est dix hectares de forêt avec rivière et lacs, et nous partons demain après-midi. Mais tiens, si tu veux… viens avec nous, ça peut être sympa.

— Je vais gâcher votre week-end en amoureux, oui.

— Arrête, tu ne vas rien gâcher du tout : on t’apprécie, et l’on se marre toujours bien tous les trois.

— Ouais, attends, je réfléchis. J’avais projeté une sortie au pub, mais bon, pourquoi pas… J’ai ma petite tente à la cave et tout mon matos de camping : ça me permettra de dépoussiérer tout ça. (Hésitant encore quelque secondes.) Bon, OK, ça marche ; mais demande quand même à ton chéri.

— Tu rigoles, me répondit Armelle, qui c’est qui porte la culotte ?

— Bon OK, d’ac’. Départ vers quelle heure, demain ?

— Vers 14 heures, ça va ; y’a quand même 300 bornes à se taper.

— OK, va pour 14 heures.

Je quittai ma copine avec dans ma tête le planning pour organiser ce week-end : vêtements, matos, etc.

Le vendredi matin, je quittai mon boulot vers 11 heures afin de finaliser mes derniers préparatifs. Toutes mes affaires étaient prêtes dans l’entrée, mon sac à dos rempli du strict minimum ; il ne me restait plus qu’une bonne douche à prendre. Nu sous la douche, je fantasmais sur le petit nouveau de la boîte. 19 ans à peine, beau grosse. Non, pas beau gosse : très beau gosse, avec un jeans sexy hyper moulant, j’avais flashé sur son entrejambe où je dessinais sa queue bien à l’étroit. Ce petit salaud devait lui aussi aimer les garçons car nos regards se sont furtivement croisés, et j’ai entr a p e rçu sa main sur son paquet caresser la forme de sa tige, comme une invitation. Un hétéro ne remarquerait rien, mais entre homos, on ressent tout de suite cette attirance. Je bandais dur sous ma douche, et naturellement je commençai à me caresser sur tout le corps recouvert de savon. Mes mains passaient de mon torse, où je titillais les pointes de mes seins déjà très dures, à mes fesses, en écartant ma raie pour trouver ma rondelle, et de mon autre main je me branlais lentement, pensant à ce petit nouveau que j’aimerais bien sucer. Mon petit jeu ne dura pas longtemps : ma bite se raidit davantage et j’éjaculai copieusement sur mon ventre. Un vrai bonheur.

Le départ se fit comme prévu à 14 heures, à quelques minutes près. Marc et Armelle était tout contents de ce week-end à trois qui s’annonçait sous de bons auspices.

18 heures : grâce aux indications du GPS, l’arrivée se fit sans encombre. Arrivés à l’orée de la forêt, une pancarte indiquait « Chasse gardée - Propriété privée ».

— Pas pour nous, rigola Armelle. Allez, en avant !

Le chemin forestier était très accidenté et semblait ne pas avoir de fin, tant la végétation était dense.

— T’es sûre qu’on peut passer ? demanda Marc.

— Mais oui, mon cœur, le rassura Armelle.

— Y’a quand même de la chasse, s’inquiéta son amoureux.

— T’as raison, ajouta-t-elle, en juin…

— Ben quoi, en juin ?

Et moi d’ajouter :

— Mais non, rassure-toi : c’est fermé depuis longtemps.

— Ah bon …

Par moments, l’épaisse forêt s’ouvrait devant nous, et de temps à autre nous longions un lac. En fait, l’endroit était parsemé de lacs, offrant une multitude de choix pour établir notre camp. Nous traversions de nombreux chemins, et au fur et à mesure notre périple devenait plus compliqué ; pour finir, un sentier à la limite du praticable pour arriver à la fin, nulle part. Même le sentier devenait plus que raide pour le 4x4 de Marc. Tout de même, à travers les branchages, on apercevait une étendue d’eau ; encore un lac, sûrement.

— Attendez, dit Armelle, je vais voir.

Quelques minutes plus tard, la mine radieuse elle nous balança :

— Allez, les mecs, c’est là. Vous allez voir : c’est le paradis. Marc, coupe le contact, et au boulot ! On décharge le matériel.

Il ne fallut pas longtemps pour tout installer et aménager notre petit paradis pour les deux jours. Armelle avait raison, c’était un vrai paradis. À une trentaine de mètres passait une rivière qui au fil du temps avait modifié son cours, aménageant ainsi une retenue d’eau aussi vaste qu’un étang. L’eau y était claire car un léger courant semblait renouveler l’endroit tel un filtre.

Je commençais à réfléchir où j’allais planter ma tente : pas trop près de mon pote et ma copine, mais pas trop loin non plus. En ouvrant le sac de ma canadienne, je compris tout de suite que quelque chose n’allait pas. Une forte odeur se dégageait du sac.

— Et m e r d e !

— Quoi ? me demanda Marc.

— Putain, regarde : tout est moisi. m e r d e , je ne peux pas utiliser ça.

— Poubelle, répliqua Armelle. T’avais qu’à vérifier avant, na-na-nère.

Paul me dit :

— Marc, tu te souviens, l’inondation dans les caves en avril ? Si ton sac de tente était par terre, voilà, t’as l’explication.

— J’y crois pas…

— C’est pas grave, pouffa Armelle, nous t’invitons dans notre humble demeure. C’est une quatre places ; on ne va pas laisser un pote à la rue. Allez, hop ! Après l’effort, le réconfort. Tout le monde à l’eau !

— Attends, je n’ai pas mis mon maillot.

— Ton quoi ? me demanda Marc.

— Mon maillot.

— Ton quoi ? insista-t-il à nouveau.

— Mon… Ah, d’accord.

J’avais compris qu’il se foutait de moi. Ces petits salauds avaient décidé de se baigner à poil.

— Bande de cons ! Alors comme ça, c’est à poil pour tout le monde ? Je te préviens, Marc : si Armelle compare, tu fais deuxième.

— Je n’ai aucune crainte : pour elle, une bite c’est une bite, salope comme elle est…

— Parlez, parlez beaux merles, vous perdez rien pour attendre.

Sans pudeur aucune, nos fringues tombèrent rapidement au sol. Marc et moi mations le cul de notre belle femelle ; c’est vrai qu’elle était bandante. D’ailleurs Marc peinait quelque peu à descendre son boxer, la bite à l’horizontale pointant droit devant. Comme les scouts, toujours prêt à niquer. L’enfoiré, comme moi, il pratiquait le rasage intégral, mettant en valeur une belle paire de couilles. Ne portant pas de boxer ou autre sous-vêtement, ma queue se retrouva rapidement elle aussi à l’air libre. Sans bander vraiment, je sentais ma sève bouillonner au fond de mes couilles. Marc était tout de même une belle bête avec un corps d’athlète grec. Tu m’étonnes que ma copine l’avait choisi, elle qui aimait les grosses queues ! De ce côté-là, l’animal avait de quoi régaler plus d’une gourmande. Et cette queue m’excitait terriblement, me déclenchant un début d’érection.

— Allez les mecs, à l’eau !

C’est cul-nu et la bite à l’air qu’Armelle put admirer nos plongeons. L’eau devait être à 22 ou 25 degrés, vu la journée ensoleillée que nous avions eue. Nous barbotions tranquillement comme des canards allongés sur le ventre dans 30 centimètres d’eau. Mon sexe touchait parfois le sable à demi terreux du fond. Sensation très agréable pour mon prépuce.

— Dis donc, Paul, c’est la queue de mon mec qui te fait bander comme ça ?

— T’es ouf ! Je bande pas comme ça, par un claquement de doigts.

— Dis donc, je t’ai vu le mater quand vous vous êtes mis à poil. Si, je suis sûre que t’as la gaule. Pas cap de te mettre debout.

La salope, elle me tenait : elle voulait vraiment m’exhiber devant mon mec. Je pensais que l’eau avait quelque peu refréné ma vigueur, mais bon, sans en être certain.

— Moi aussi j’ai la gaule, ajouta Marc.

— Oui, mais toi, répliqua Armelle, t’as toujours la gaule.

— Allez, debout mon bel homo !

Ce que je fis en lui faisant face. Ma queue, sans être à son apogée, trahissait mon désir. Je ne pouvais dissimuler mon trouble devant ce beau mâle, et Armelle savourait cet instant.

— Ah, tu vois ? La queue de mon chéri te fait fantasmer, et tu bandes.

— Mais non : quand je bande, j’ai la bite droite comme un i.

Puis, s’adressant à Marc :

— Regarde, chéri, tu ne te le ferais pas ? Il a la gaule, non ? Retourne toi, Paul, montre-lui ta belle bite de bel homo.

J’étais là, debout dans l’eau, et ma meilleure amie me demandait de me retourner vers son chéri pour qu’il mate ma queue et constate si je bandais ou pas. Je lui fis donc face. Mais avant que je me retourne, Marc était sorti de l’eau et je ne pus que constater que non seulement il bandait comme un cerf, mais que le salaud se caressait la tige devant moi. Évidemment là, dès que je lui fis face, je lui présentai ma plus belle érection.

— La vache ! jura Armelle qui n’avait rien perdu de la scène, on va bien s’éclater ce soir. Je ne sais pas qui va prendre, mais moi je dis « prem’s ! »

C’est par une franche rigolade que nous sortîmes de l’eau sans se soucier qui bandait pour qui. Nous étions jeunes, beaux, heureux et à poil, et surtout avec une forte envie de baiser. Qui ? Ça, nous improviserions. Mais sûr, nous baiserions. Toujours à poil et sans pudeur – pourquoi se rhabiller ? – un feu de camp fut vite allumé. Pendant la mise en place du repas, nos corps se frôlaient sans vraiment se toucher. Marc, la queue toujours dressée, passait devant ou derrière moi, m’effleurant sensiblement l’épiderme. Armelle, qui s’occupait des derniers préparatifs, nous mettait à chaque occasion la main au paquet, maintenant notre érection en pleine forme. Le repas du soir était pour ainsi dire prêt ; merci, Armelle. Lentement, le soleil se couchait. Debout nus devant le feu, Marc et moi, tels des ombres chinoises, exhibions fièrement nos sexes tendus. C’est l’instant magique que choisit Armelle pour prendre son portable afin d’imm o r t aliser ce spectacle en nous photographiant de profil, tels deux satyres impudiques.

— Mes salauds, dit-elle, quelle photo bandante !

— Quelle perverse tu fais ! répliqua son chéri. Tu vas encore te faire mouiller le minou avec cette photo.

— Et alors, t’aimes pas une chatte toute mouillée ?

— J’adore…

Avant que la pénombre n’envahisse vraiment notre campement, Marc installa autour du feu des plaids pour nous trois. Nous étions pour ainsi dire prêts pour notre première soirée en pleine nature. Notre repas froid fut vite englouti, la vaisselle rincée dans la rivière, et chacun avait eu droit à un café bien chaud ; encore merci, Armelle, pour l’intendance. Nous étions tous les trois allongés autour du feu qui crépitait, et c’est encore Armelle qui attaqua doucement :

— N’empêche, les mecs, vous m’avez sérieusement chauffée tout à l’heure. À ma droite j’avais la queue toujours à l’équerre de mon chéri, et à ma gauche la bite sur laquelle je fantasme depuis des lustres, celle de mon meilleur ami qui est gay.

La coquine nous allumait lentement mais sûrement. L’ombre des flammes dansait sur nos corps, telles des ombres chinoises. Marc allongé sur le flanc regardait sa chérie, flattant doucement son sexe à moitié endormi. Moi, bien sûr, je le matais comme un pervers. Allongé sur le ventre, je pouvais fantasmer sur un éventuel rapprochement. Rien qu’en y pensant, ma queue tendue à m o r t était prise en étau entre ma couverture et mon ventre ; j’ondulais discrètement du bassin comme si je voulais perforer le sol. C’est à ce moment-là qu’avec Armelle nos regards se croisèrent. La garce avait vu clair dans mon déhanchement, et pendant que je m’excitais sur le ventre, la salope se touchait sans retenue, les cuisses largement ouvertes face à nous. Sa fente luisait de cyprine, et avec son pouce et son index elle se titillait le clitoris.

— Vas-y, Paul, mon petit pédé adoré ; continue, frotte bien ta bite sur le plaid. Tes fesses se contractent à chaque fois, ça m’excite. Montre-moi comme tu l’as fait grossir. Regarde, chéri, comme il se touche, notre petit pédé… Tu vois, il bande pour toi, mon ange, pour ta grosse queue. Montre-lui comme tu es excité, comme t’as envie de lui, comme tu vas bientôt lui faire goûter. Hum, les mecs, j’ai trop envie de vos queues…

À ces mots, Marc se leva, la bite à la main, fit le tour du feu et se mit à genoux devant moi sans cesser de s’astiquer.

— C’est vrai ? me dit-il, tu bandes pour ma queue ? Tu la veux ? Ouvre bien ta bouche, ma chérie, et fais-moi une gorge profonde. Tu veux ?

J’avais ma bouche ouverte, et ma langue happait déjà son gland. Je me mis sur le flanc, dévoilant mon érection, et de ma main j’attrapai ses couilles pour l’attirer vers moi.

— Doucement ma chérie, me susurra Marc, n’aie crainte : je vais tout te donner. Vas-y, pompe-moi bien… Une vraie petite reine, ma salope ! Crache dessus, mouille-moi bien la tige.

Je crachais et recrachais sur son membre qui coulissait déjà pas mal au fond de ma gorge, mais ce salaud m’avait tellement chauffé que j’obéissais à tous ses désirs. Tirant bien sur la peau de sa tige, je décalottais au maximum son gros gland v i o l acé et je crachais dessus à n’en plus pouvoir. Ma salive glissait partout. Le salaud était monté comme un âne ; j’avais bien du mal à en faire le tour avec ma main. Même ma bouche paraissait ridicule devant ce baobab. Marc donnait de v i o l ents coups de reins, me f o r ç a nt à engouffrer cette bite comme je pouvais. À chaque de boutoir, il me semblait l’avaler davantage. Mon autre main n’était pas en reste, j’attrapai ses couilles qui me paraissaient bien lourdes, laissant présager une grande quantité de foutre.

Armelle s’était approchée de nous et poussait sur les fesses de mon amant pour l’encourager encore plus à me baiser la bouche. J’étais aux anges.

— Je vais jouir, cria Marc. Ouvre ta bouche, salope, ouvre ! Tiens, prends…

J’ouvris la bouche à m’en décrocher la mâchoire ; des flots de foutre tiède et âcre me coulaient de partout ; plus j’avalais, plus Marc jouissait. L’enfoiré me régalait ! Il repoussa mon visage et, la bite à la main, il me retapissa le visage en se vidant saccade après saccade. J’avais raison : l’enfoiré m’avait réservé tout le contenu de ses couilles. Armelle me sauta littéralement dessus pour nettoyer de sa langue le foutre de son chéri.

— Encore, lui criait-elle, vide-toi ! Et toi, mon petit pédé, presse bien ses couilles pour les vider, écrase-lui bien fort. Vas-y, plus fort ! Je te dis qu’il aime ça.

Cette salope attrapa ma main et la serra si fort sur les couilles de Marc qu’il hurla sa douleur en se cambrant davantage.

— Plus fort ! me cria-t-elle ; je sais qu’il aime ça. Vas-y, écrase-lui les couilles !

Marc se cambrait sous la douleur ; nos mains essoraient ses boules. Le salaud devait être maso, car plus nous maltraitions sa queue, plus elle pointait vers le ciel. Ma copine me roula une pelle d’enfer afin de goûter cette semence à la source même, me badigeonnant la figure des dernières giclées de cette queue énorme.

— Alors, elle n’est pas bonne, la bite de mon chéri ?

Pour toute réponse, je roulai sur le dos, régalé par toute cette semence, la queue fièrement dressée vers le ciel étoilé.

— Et toi ? Qui va s’occuper de toi, mon cœur, de ton petit cul ? De ta bite ? Tu permets que je joue avec ?

Sans crier gare, Armelle se mit à califourchon sur moi et s’empala totalement sur mon pieu. Pour un homo, je dois dire que la surprise était de taille ! Cette salope me chevauchait sans aucune retenue. Ses mains pétrissaient les pointes de mes seins à me faire hurler de douleur, mais aussi de plaisir, car l’effet de la maltraitance de cette petite pute se répercutait dans tout mon corps. J’étais tendu et offert. Je ne pouvais pas dire que je la pénétrais, mais plutôt qu’elle se défonçait la chatte en retombant de toute sa hargne sur mon pieu.

Après cette brève mais intense chevauchée fantastique, elle se retira et me demanda gentiment de me mettre à quatre pattes. Moi, gentil garçon et ne souhaitant pas la froisser, je me retrouvai dans la position qu’elle désirait, en attente de nouvelles instructions.

— Pas mal, ce petit cul, mon beau. Cambre-toi bien, creuse tes reins qu’on admire ta belle petite raie.

Chaud comme j’étais, je ne pouvais que m’exécuter. J’observai Marc discrètement : le salaud qui s’était mis à l’écart était de nouveau en forme ; faut dire qu’il trichait un peu en s’astiquant allègrement. Plus je regardais son sexe, plus je me cambrais ; j’avais hâte de connaître la suite des réjouissances.

— Écarte tes fesses avec tes deux mains, me susurra Armelle. Écarte-les bien, chéri, tu vas aimer…

J’étais hyper chaud. Le cul ouvert et tendu, j’admirais cette queue qui allait sûrement me prendre. Quand et comment, cela restait encore une surprise.

— Tiens, me dit Armelle, pousse un peu, tu vas aimer.

Il faut toujours pousser un peu avant la pénétration pour offrir son derrière. Je poussai donc sans connaître la nature de ma sodomie. Instantanément, ma chère copine m’encula profondément ; j’étais rempli totalement. Mon anus s’était ouvert très vite pour ce refermer aussitôt, faisant prisonnier soit un gode, soit un plug.

— Salope… me murmura Armelle. T’as tout pris dans ton petit cul ! Tu le sens bien ?

Joignant le geste à la parole, ma voisine préférée me défonça le trou en me pilonnant gracieusement le fondement.

— Écarte bien tes cuisses, mon bébé ; reste comme ça, à quatre pattes, et regarde.

Je n’osais bouger. J’attendais les bons vouloirs de mon enculeuse. Elle se dirigea vers Marc qui se tenait sur les coudes, les jambes écartées, à quelques centimètres devant moi. Cette salope vint s’asseoir sur le mât de son chéri, elle aussi face à moi, cuisses grandes ouvertes. J’étais aux premières loges pour admirer cette bite, qui à présent lui pilonnait la chatte.

— Regarde, petit pédé, comme il me baise ; imagine sa bite qui te fourre comme ça, hum… Vas-y, bouge ton cul que tu sentes bien comment t’es rempli en imaginant son pieu dans ton cul. Approche ta langue, petit pédé… Voilà, c’est bien ; lèche bien ma chatte, goûte ma mouille, passe ta langue sur cette belle tige qui coulisse, lèche notre jus, ma petite salope de pédale.

Plus les insultes fusaient, plus j’étais excité. Ma langue passait de son clito ruisselant de plaisir à la queue tendue de son amant. Je buvais encore et encore cette mouille gluante aux parfums âcres et salés, d’odeur de pisse et de jus de femelle.

— Putain, je vais décharger ! hurla Marc.

Pendant que ma langue parcourait sa bite, il pilonnait sa chérie ; je sentais grossir sa grosse veine sous sa tige. Le salaud donnait de puissants coups de reins pour décharger sa semence au plus profond de cette chatte qu’il baisait. J’ai su qu’il l’avait totalement inondée lorsque j’ai senti sur ma langue le goût particulier du foutre. Il finissait de se vider par quelques derniers va-et-vient moins intenses. Sa liqueur coulait de partout ; je léchais cette tige et cette chatte ruisselantes de plaisir ; Armelle écartait de ses mains ses grandes lèvres afin de mieux se faire lécher, la salope… Marc, de son côté, retira sa bite et m’ordonna un nettoyage complet.

— Vas-y, petite gourmande, fais-toi plaisir : bois toute cette crème.

Armelle roula sur le côté pour nous mater. Après cet instant d’une grande intensité, un moment de répit s’imposait ; nous méritions une pause. Doucement, nous tombions dans les bras de Morphée. Armelle gâtée à souhait, Marc vidé et nettoyé. Quant à moi, était-ce un oubli, mais j’avais toujours dans le fondement ce plug qui me ravissait et me maintenait en érection. Cela ne m’empêcha pas de m’endormir en ressassant cette petite phrase que m’avait dite Armelle la veille :

— Toi, un jour, je t’attacherai pour te v i o l er.

Je me sentais pour ainsi dire prêt…

Paradishommes

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